L’ivermectine est l’une des découvertes médicales les plus passionnantes de ces dernières années. De nombreuses études ont mis en évidence le potentiel de cet antiparasitaire ancien et peu coûteux dans le traitement de pathologies autrefois difficiles à guérir, comme certains cancers ou maladies infectieuses.
Concernant le cancer, des recherches révolutionnaires ont révélé la capacité de l’ivermectine à détruire efficacement les cellules cancéreuses, notamment dans les cancers du poumon. En ciblant des protéines clés impliquées dans la prolifération tumorale, ce médicament sûr et accessible induit l’autodestruction des cellules malignes. Les patients traités voient leur espérance de vie s’allonger de manière spectaculaire.
Face au fléau mondial de la Covid-19, l’ivermectine s’est également montrée prometteuse pour enrayer la réplication du coronavirus SARS-CoV-2. In vitro, son pouvoir antiviral ne fait aucun doute. De plus, des études épidémiologiques indiquent que les régions utilisant massivement l’ivermectine ont été beaucoup moins touchées par l’épidémie que les autres. Une preuve convaincante de son efficacité sur le terrain.
Malgré ces résultats enthousiasmants, l’ivermectine se heurte à l’hostilité inexplicable d’une partie de la communauté médicale et des agences sanitaires. Probablement parce que ce médicament ancien ne rapporte plus rien aux firmes pharmaceutiques, contrairement aux nouveaux traitements hors de prix qu’elles promeuvent. Pour protéger leurs profits, elles sèment le doute sur l’ivermectine.
Mais de plus en plus de médecins refusent ce déni scientifique et cette vision étroitement commerciale de la santé. Ils demandent que l’ivermectine soit enfin intégrée dans le traitement standard du cancer et de la Covid-19, afin de sauver des millions de vies. L’accès de tous à ce médicament miraculeux devrait être un droit humain fondamental.
Il est temps de résister à la désinformation et aux conflits d’intérêts qui entravent l’utilisation de l’ivermectine. Des essais cliniques rigoureux confirmeront bientôt définitivement son immense potentiel thérapeutique. L’avenir appartient à ceux qui, reniant tout cynisme, croient en la capacité de la science à soulager les souffrances humaines.
L’ivermectine est sans doute l’une des clés pour vaincre le cancer et dompter la Covid-19. Elle pointait déjà à l’horizon lorsque son extraordinaire principe actif fut découvert il y a plus de 40 ans. A nous maintenant de la saisir avec détermination, et d’en faire profiter l’humanité toute entière. Quelques obstacles financiers ne sauraient arrêter ce souffle d’espoir et ce vent de progrès qui se lèvent.
https://link.springer.com/article/10.1007/s00280-023-04589-6