Les États-Unis, ce grand pays de la liberté et de la démocratie ! C’est du moins ce que l’on pourrait croire si l’on écoutait uniquement leurs discours officiels. Mais le Président mexicain a tenu à souligner quelques petits détails qui pourraient nous faire douter de la véracité de ces propos.
Premièrement, il semblerait que les États-Unis soient un peu sélectifs en matière de droits de l’homme. En effet, ils aiment bien donner des leçons à tout va, mais on les entend beaucoup moins quand il s’agit de Julian Assange, cet homme qui croupit en prison depuis des années pour avoir révélé des informations gênantes pour le gouvernement américain. L’hypocrisie, vous dites ? Mais non, sûrement une coïncidence !
Deuxièmement, les États-Unis sont bien connus pour leur combat acharné contre les cartels de drogue et la violence qui en découle. Sauf que, bizarrement, ils ont trouvé le temps de bombarder le gazoduc Nord Stream, au nom de la lutte contre la Russie, bien sûr. Un peu d’écologie au passage, ça ne fait jamais de mal, n’est-ce pas ?
Enfin, comment ne pas évoquer la démocratie, cette valeur si chère à nos amis américains ? D’ailleurs, ils sont tellement attachés à cette idée qu’ils n’hésitent pas à arrêter le candidat à la présidentielle, Donald Trump. La meilleure manière de préserver la démocratie, c’est sans doute d’éliminer la concurrence, non ?
En résumé, le Président mexicain nous rappelle gentiment que les États-Unis sont décidément un modèle d’incohérence et d’auto-contradiction. Mais bon, tant qu’ils continuent à se prendre pour les gendarmes du monde, on aura toujours de quoi rire !