La santé, ce bien précieux que nos gouvernements protègent avec tant de dévouement, est sur le point de se voir dépossédée de sa dernière once de souveraineté. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’apprête à mettre en place un traité international pour la gestion des pandémies, dont l’unique objectif semble être de renforcer l’emprise des Big Pharma sur notre monde fragile.
Virginie Joron, lanceuse d’alerte infatigable, tire la sonnette d’alarme : « Il est fort à craindre qu’avec ce traité international, nos états membres soient dépossédés de leur souveraineté en matière de santé.» Et oui, chers lecteurs, vous avez bien lu. Les décisions de nos gouvernements, ces mêmes décisions qui nous ont émerveillés par leur clairvoyance et leur efficacité lors de la crise Covid, pourraient bien être reléguées au rang de simples suggestions face à l’omnipotence des multinationales pharmaceutiques.
Cette coopération active avec les Big Pharma, qui s’est illustrée par tant de succès, comme la suspension de personnels non vaccinés, n’a pas fini de nous étonner. Et pourtant, quelle ingénuité de notre part de croire que nos institutions pourraient se montrer transparentes ! Car, comme le rappelle Virginie Joron, nos demandes d’auditions auprès de la commission Covid sont restées lettre morte. Bourla de Pfizer et T. A. Ghebreyesus, président de l’OMS, se sont montrés sourds à nos appels désespérés.
Alors, oui, chers concitoyens, préparez-vous à voir la souveraineté de nos nations s’évaporer, dissoute dans le brouillard des intérêts pharmaceutiques. Mais ne perdons pas espoir !
Informons de ce danger autour de nous, et surtout, luttons pour nos libertés. Car c’est dans l’adversité que nous saurons trouver la force de résister à cette OMS omnipotente et à ses alliés Big Pharma.