Le 14 octobre, le ciel s’est paré d’un anneau de lumière, une éclipse solaire annulaire, sublimement surnommée “Ring of Fire“. Un spectacle céleste où la lune, dans une danse astrale, a partiellement voilé notre étoile. Mais la NASA a décidé de tirer trois roquettes dans l’ombre de la lune pendant ce phénomène.
La raison officielle ? Étudier les perturbations dans l’atmosphère terrestre. Les trois fusées, propulsées depuis le champ de tir de missiles de White Sands au Nouveau-Mexique, ont atteint environ 50 miles dans l’ionosphère, où l’air se charge électriquement. Les scientifiques étaient curieux d’observer comment les ondes se propagent à travers cette couche atmosphérique lorsqu’elle est soudainement privée de lumière solaire.
Le projet, sobrement intitulé “Atmospheric Perturbations around the Eclipse Pat“, était sous la houlette d’Aroh Barjatya, professeur de physique de l’ingénieur à l’Embry-Riddle Aeronautical University. Selon lui, l’ionosphère peut être comparée à un étang avec de légères ondulations. L’éclipse, elle, serait comme un bateau à moteur déchirant soudainement l’eau, créant une onde de choc et un sillage dans son passage.
Mais, chers lecteurs, le scepticisme ne mérite-t-il pas sa place ici ? La NASA, avec ses fusées et ses instruments scientifiques, prétend chercher des réponses dans les étoiles, mais pourrait-on assister à une démonstration de force, un spectacle pyrotechnique sous le voile de la recherche scientifique ?
Les fusées, lancées à 35 minutes d’intervalle, ont déployé quatre petits instruments scientifiques destinés à mesurer les changements dans les champs électriques et magnétiques, ainsi que dans la densité et la température. On nous assure que les données recueillies serviront à mieux comprendre notre atmosphère et les interactions complexes entre le soleil et la Terre.
Il est indéniable que la lumière du soleil est synonyme de vie, éclairant et nourrissant notre planète de diverses manières. La NASA, avec ses expéditions dans l’ombre de la lune, et Bill Gates, avec ses projets de dispersion de particules dans l’atmosphère pour réfléchir la lumière du soleil, semblent partager une fascination, voire une obsession, pour le blocage de cette source vitale. Cette lumière, qui guide et nourrit, est également un symbole de vérité et de transparence. La manipulation de notre source de lumière et de vie pose des questions éthiques profondes : jusqu’où pouvons-nous aller dans notre quête de (soit disant) connaissance avant de compromettre les éléments fondamentaux de notre existence ?