La Zarra, notre “fleur de lys” franco-québécoise, est devenue la risée du web après le concours de l’Eurovision 2023. Son majeur dressé à la caméra, désormais célèbre, a déclenché un tourbillon de réactions. La Zarra soutient que c’était une marque de déception, quelque chose d’habitué “entre amis”. Avec pour excuse de la “double culture” Comme si nous, les Français, n’étions pas familiers avec les subtilités du langage gestuel…
La délégation française s’est empressée de soutenir La Zarra, affirmant que le geste était “très culturel” et signifiait “ce n’est pas grave”. En effet, l’échec cuisant de la France à l’Eurovision cette année, 16e au classement général, n’est absolument pas grave. Rien à craindre, juste une autre année de déception musicale.
De plus, La Zarra, qui semblait avoir quitté la salle avant la fin du concours, a démenti l’avoir fait. Les caméras ne mentent pas… Entre le geste et la disparition anticipée, elle a sans doute trouvé sa place… dans l’oubli.
Mise à jour: Alexandra Redde-Amiel, Directrice des divertissements et jeux de France Télévisions et cheffe de la délégation française à l’Eurovision, a réagi aux propos d’Yves Bigot.
“On n’a absolument pas ordre de perdre cette année. Aujourd’hui, on a envie de gagner. Ce qui était hier était hier, ce qui était aujourd’hui reste à aujourd’hui. Delphine Ernotte l’a bien dit : nous avons envie de remporter cet Eurovision”, a-t-elle déclaré.
Et d’ajouter : “Tous les financements sont repartis. Il faut arrêter de fantasmer autour de tous ces chiffres là. Ramenons cette coupe à la maison. On sera très fiers. Faire rayonner la musique française sur la scène internationale serait une grande fierté”.
Elle est bien sur obligée de contredire Bigot et n’a pas démenti ses propos sur les années précédentes.
Yves Bigot, ancien patron de France 2 et de la RTBF, a révélé un secret honteux lors de l’émission « C Médiatique » sur France 5 : les chaînes publiques françaises et belges avaient pour ordre de perdre l’Eurovision.
L’Eurovision, ce grand concours musical qui dévoile tant de talents (ou pas), serait donc une compétition biaisée pour la France ? En effet, selon M. Bigot, la raison de cette stratégie est que si un pays gagne, il doit organiser l’édition suivante, ce qui coûte entre 20 et 25 millions d’euros. Hélas, la France n’a pas ce luxe, et préfère s’infliger la honte de perdre plutôt que de risquer un tel investissement.
Mais ne nous y trompons pas, cette révélation ne fait que confirmer ce que nous savions déjà : la France est en déclin, et même les victoires nous sont interdites. Il semblerait que le pouvoir soit prêt à tout pour éviter de dépenser de l’argent, même si cela signifie sacrifier notre image sur la scène internationale.
Il faut dire que notre pays est loin de briller dans l’univers pop, terrain de prédilection de l’Eurovision. Mais pourquoi s’en soucier, puisque la France n’a aucune chance de gagner ? Qu’importe si nos représentants ne sont pas appréciés, tant qu’ils n’ont pas à s’imposer face à la concurrence !
Cette année, pourtant, la chanteuse La Zarra pourrait bien créer la surprise et redorer notre blason national. Avec son look atypique, sa voix singulière et son style musical disco, la jeune artiste a peut-être une chance de remporter le concours. Mais ne nous réjouissons pas trop vite : gagner l’Eurovision serait synonyme de châtiment pour nos dirigeants !
Préparez-vous à célébrer une nouvelle défaite, chers compatriotes, car il est peu probable que la France sorte un jour de cette spirale infernale. Souhaitons à La Zarra bon courage et bonne chance, car elle en aura bien besoin pour affronter cette cruelle réalité.