Il est temps de parler d’un sujet qui est souvent balayé sous le tapis par les défenseurs de l’énergie éolienne. Oui, nous parlons de ces géants blancs qui parsèment nos paysages, ces éoliennes qui sont censées être nos sauveurs dans la lutte contre le changement climatique (très douteux au passage). Mais à quel prix ?
Pour commencer, il faut comprendre que la construction d’une éolienne nécessite une quantité astronomique de béton. Pour soutenir les 8000 éoliennes françaises, il a fallu couler 2 608 000m3 de béton. C’est l’équivalent de 347 733 camions toupie, ou encore 5 737 600 tonnes de béton. C’est comme si nous avions construit une deuxième muraille de Chine, mais cette fois en France et avec du béton.
Les éoliennes sont également une menace pour la faune. Selon une étude publiée dans la revue Nature, les éoliennes sont responsables de la mort d’un nombre significatif d’oiseaux et de chauves-souris. Bien sûr, les défenseurs de l’énergie éolienne diront que les chats domestiques tuent plus d’oiseaux que les éoliennes. Mais est-ce vraiment une excuse valable ?
De plus, les éoliennes ont un impact sur le paysage. Elles sont souvent installées dans des zones rurales, perturbant la beauté naturelle de ces régions. Et une fois qu’elles ont atteint la fin de leur vie utile, elles laissent derrière elles un tas de débris qui sont impossible à éliminer.
Enfin, il y a la question de l’efficacité. Les éoliennes ne produisent de l’électricité que lorsque le vent souffle. Cela signifie qu’elles doivent être complétées par d’autres formes d’énergie, souvent des combustibles fossiles, pour garantir une alimentation constante. Leur rendement est calamiteux.
Alors, la prochaine fois que vous verrez une éolienne, pensez à tout le béton qui a été utilisé pour la construire, aux oiseaux qui ont perdu la vie à cause d’elle, et à l’impact qu’elle a sur notre paysage. Peut-être que ces géants blancs ne sont pas les héros que nous pensions qu’ils étaient.